Au début du mois dernier était organisée la semaine européenne de prévention et d’information sur l’ #endométriose.
Comme la #sensibilisation à l’endométriose ne s’arrête jamais, ce que l’association EndoFrance illustre au travers des événements qu’elle organise tout au long de l’année sur tout le territoire français, je m’en fais aussi le relais.
On commence aujourd’hui à mieux connaître l’endométriose sans toutefois qu’il existe des traitements définitifs pour la soigner.
Les techniques douces, puissantes alliées anti-douleur
On sait aussi qu’en complément d’une prise en charge médicale, les techniques dites « douces » procurent une #amélioration de la #qualité de vie des femmes.
Si seulement… Oui, si seulement…
- …EndoFrance avait existé,
- …la recherche et la médecine avaient déjà avancé sur ces sujets,
- ….j’avais connu l’existence du Shiatsu,
lorsque j’ai été diagnostiquée.
Car « pour vous accompagner tout au long de votre parcours, les soins supports ou prises en charge non médicamenteuses sont une aide précieuse, surtout quand la douleur devient chronique, neuropathique. Ces techniques vont vous aider à gérer une douleur quotidienne, mais aussi vous aider à vous sentir mieux, à appréhender plus sereinement les différentes étapes de votre parcours, ainsi qu’à pallier les effets secondaires apportés par certains médicaments », explique EndoFrance sur son site internet.
L’approche globale et adaptable du Shiatsu
Grâce à son approche globale, tant au niveau physique qu’émotionnel et moral, et à sa capacité à réguler entre autres les systèmes nerveux et endocrinien, on a constaté que les effets du #Shiatsu sont visibles dès la 1ère séance. Selon les besoins et le parcours de #soins de la personne, on adapte la fréquence des séances jusqu’à parvenir au niveau de confort qui lui convient.
En Shiatsu, on travaillera plus particulièrement sur :
- les douleurs : dysménorrhées, douleurs pelviennes et lombaires, etc.
- les troubles digestifs et urinaires
- les symptômes du syndrome prémenstruel (SPM) avec par exemple : nausées, fatigues, céphalées, troubles de l’humeur, rétention d’eau et jambes lourdes
- les émotions
- l’accompagnement des effets secondaires et des conséquences du parcours de soins
Si vous êtes concernée et souhaitez être accompagnée, parlez-en à votre médecin et parlons ensemble de la manière de vous soutenir au mieux.
Pour en savoir plus sur l’endométriose et ne pas passer à côté : https://www.endofrance.org/la-maladie-endometriose/
#cycleféminin #douleur #qualitédevie